Jean Dumont. “Le groupe penta et la couleur”. VIE DES ARTS, numéro 169. Hiver 1998
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La rédaction :” Un éloge à la création”. LAURENTIDES 1991
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Jean Sarrazin
Salon de la jeune peinture.
LE NOUVEAU JOURNAL 1962
Paul Gladu
Ce qu’est la jeune peinture.
LE PETIT JOURNAL 1962
Claude Jasmin
A voir : Le salon de la jeune peinture.
LA PRESSE 1962
DOCUMENTS TELEVISUELS
BON DIMANCHE
Télé-Métropole
Montréal (Québec)
FEMME D’AUJOURD’HUI
Réalisateur : Jean Letarte
Société Radio-Canada
RIDEAU
Radio-Québec
Montréal (Québec)
MICHEL MORIN (1933-2011)
Natif de Montréal.
1955-1962: Conservatoire de musique et d’art dramatique, Montréal
1962: Diplôme de l’École des Beaux-Arts, 1er prix de gravure et lauréat du Salon de la jeune peinture
1961-1980: Enseignement à Matane, Rimouski, Sherbrooke et Montréal.
1962-2011: Expositions individuelles et collectives (musées, galeries, biennales. Au Canada. A l’étranger. Intégration des arts à l’architecture).
Sa démarche sur toile, sur papier ou sur bois gravé comporte la même préoccupation matière-espace-couleur, dans une perspective cosmique. Philosophique ou poétique. Peu importe le matériau choisi, Morin travaille de façon libre, privilégiant le geste spontané, sans délaisser les problèmes de l’espace. De profondeur. De relief. De transparence.
Quant à la couleur, elle fait entièrement partie de l’organisation picturale, de la structure même. La couleur est à l’intérieur de la surface et non sur la surface.
Michel Morin laisse des instants fixés dans la peinture. Ces jalons de l’espace-temps qu’il a parcourus restent et constituent les preuves visibles de la spontanéité, de l’immédiat qui les a forgées. L’ardeur et la persévérance sont inscrites dans toutes ces traces peintes et dessinées.
L’oeuvre est individuelle, mais l’héritage pictural considérable qu’elle constitue est collectif.
Tel est le message que “Collection Morin-Renaud” veut rendre public.
Les oeuvres exposées témoignent, par la variété des formats et des techniques, de l’engagement de l’artiste envers son medium principal, la peinture.
Les influences du Français Soulages et de l’Espagnol Tapies sont frappantes dans certaines oeuvres.
Une démarche qui s’échelonne sur près de cinquante ans.
Une telle longévité créative se retrouve rarement dans les diffusions actuelles: il importe de la souligner.
Une marche dans l’espace.
L’essentiel de la quête de l’artiste nous ramène au dialogue fondamental. À l’infatigable aventure de l’homme à la recherche de la connaissance.